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 les enfants et les nerfs

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Christine
Karine
nadia
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nadia




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MessageSujet: les enfants et les nerfs   les enfants et les nerfs EmptySam 9 Juin - 15:36

bonjour, dites-mi ou rasurez-moi!
parfois je n'ai pas la patience d'expliquer à mon fils telle ou telle leçons, je voudrai qu'il comprenne dès la première explication, est-ce normale, ou suis-je trop nerveuse, ou bien parfois je n'ai pas la tête à ça?

pas plus tard qu'hier nous avons fait le singulier pluriel, feminin, masculin, est-ce norma qu'il ne comprenne pas? pour moi il n'y a rien a comprendre, alors je lui explique une fois, plusieurs fois on va dire mais il n'arive toujours pas à se rappeler, et c'est là que je perd mon sang froid et je m'énerve et je m'en veux de m'emporter et je m'excuse auprès de lui(de mon fils)
aidez-moi j'ai bsoin de conseil sincère, et pas de jugement!
merci de tout coeur
nadia
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Karine
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MessageSujet: Re: les enfants et les nerfs   les enfants et les nerfs EmptyDim 10 Juin - 12:57

Bonjour,
Je pense que si ton fils a du mal à intégrer une notion, c'est peut-être parce qu'il n'est pas prêt pour cette notion-là. Peut-être peux-tu passer à autre chose et attendre un peu avant d'y revenir ?
Je pense qu'il est normal de parfois perdre patience, ou d'avoir la tête à autre chose. Ca m'arrive aussi... Dans ces cas-là, le mieux est de faire autre chose Wink et de s'y remettre quand on est plus concentré. L'avantage de l'instruction à domicile, c'est qu'on peut faire des séances plus ou moins longues. On peut adapter l'emploi du temps et la progression à son enfant, et aussi faire des breaks quand cela devient nécessaire pour l'enfant, mais aussi pour le parent. Certains jours, les leçons peuvent être plus courtes sans que cela soit le signe d'un manque de travail ou de volonté, et faire une leçon plus courte pendant quelques jours ne signifie pas non plus qu'il ne sera plus possible de revenir à un rythme plus soutenu.
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Christine




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MessageSujet: Re: les enfants et les nerfs   les enfants et les nerfs EmptyDim 10 Juin - 13:28

Bonjour Nadia,

Le plus important dans tout ça c'est d'éviter de s'énerver pour que chacun garde sa confiance dans l'autre et le plaisir d'apprendre ensemble :-)
Comme dit Karine si ton fils bloque sur une notion, peut-être n'est-il pas prêt. L'argument "il n'y a rien à comprendre" n'est peut-être pas non plus très stimulant... peut-être aussi la méthode et/ou le support que tu utilises ne lui conviennent-ils pas ? Tu peux essayer de varier les approches, mais pas le même jour. S'il ne comprend pas tout de suite, ce n'est pas grave, essaie un autre jour, autrement. Ou pas du tout... ça m'arrive assez souvent de laisser tomber un point qui pose problème et de m'apercevoir plusieurs semaines plus tard que ma fille l'a intégéré toute seule sans que j'intervienne de nouveau ;-)
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nadia




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MessageSujet: Re: les enfants et les nerfs   les enfants et les nerfs EmptyDim 10 Juin - 21:49

merci pour vos conseils

l'une des raisons du homeschooling, c'est la souplesse, mais j'ai toujours peur qu'il ne soit pas au niveau, alors qu'il fait beaucoup d'efforts, et je stress et crois que je ne fais pas assez...et ça fait boule de neige.
je me resaisis et essaie de ne pas trop le prendre à coeur mais c'est dur!

je vais essayer de faire comme vous dites, de laisser de cotés ce qui ne lui parle pas pour le moment, mais comme nous avons reçu les cours du troisieme trimestre au début du mois de juin( je crois que c'est ça qui me stress, c'est de savoir que je suis un peu en retard).

au plaisir les mamans
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lysalys




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MessageSujet: Re: les enfants et les nerfs   les enfants et les nerfs EmptyLun 11 Juin - 22:39

Ce n'est pas très grave d'être un peu en retard, il a pu apprendre d'autres choses entre temps, c'est l'avantage entre autre de l'ief.

Pour avoir une certaine connaissance de l'enseignement, le problème peut aussi être lié à la façon de présenter les choses.
Je m'explique. Il peut s'agir d'un support qui ne correspond pas à ton enfant ou bien de mots qu'il n'a pas compris. Dans ce cas là, mieux vaut tous aller souffler un bon coup et reprendre les choses d'une façon différente, avec des mots sensiblement différents.
Pour mieux aider ton fils, tu peux aussi repérer la méthode dont il apprend le mieux : certains sont plus visuels, d'autres plus tournés vers les sons ou encore vers le besoin de se représenter les choses (schémas), d'autres encore comprennent et apprennent dans l'action. Parfois il peut y avoir une combinaison des méthodes.

Quant aux pertes de patience, et bien ça arrive à tout le monde ! surtout lorqu'on enseigne à ses enfants parce qu'on a envie qu'ils réussissent.
Lorsque j'ai commencé les devoirs de ma grande un peu tête en l'air, il y a eu de l'orage dans l'air parce qu'elle rêvait et moi je voulais qu'elle réussisse et je savais qu'elle en était capable. Mais elle se bloquait et finalement en m'interrogeant, j'ai compris que je me mettais trop à sa place, mais qu'après tout il s'agissait de sa vie à elle ! Et depuis il est rare que je m'énerve après elle.
Même si lorsque je serai fatiguée, stressée, je sais qu'il vaudra mieux éviter les notions importantes et difficiles.
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shéhérazade




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MessageSujet: Etait-ce le bon choix pour moi aussi ?   les enfants et les nerfs EmptyLun 26 Jan - 21:09

C'est vrai, moi aussi j'ai crisé contre mon fils parce qu'il ne comprenait rien. J'avais l'impression de jamais y arriver, donc ça se terminait très mal. Il était alors au primaire... Il est resté à la maison jusqu'à la rentrée de 4ème.
Aujourd'hui, il a 16 ans, il est en 2nde et on en reparle. Il m'en veut beaucoup bien sûr, et il me dit que je n'aurai jamais dû le garder à la maison, que j'aurai dû le remettre à l'école.
Bref, on a du mal à discuter et je sais que derrière, c'est ça qui gâche. Parfois j'en dors plus, j'en rêve encore et je me dis que égoïstement j'ai fait un choix qui ne lui convenait pas.
Il me faudra du temps pour me dire que finalement c'est du passé, qu'il faut reconstruire une relation entre nous, voire avec ses frères et soeurs qui s'apercevaient bien du problème. L'IEF pour eux était différent car au collège ils se débrouillaient tout seuls.
Je ne jugerai jamais de ça...
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Karine
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MessageSujet: Re: les enfants et les nerfs   les enfants et les nerfs EmptyLun 26 Jan - 23:04

Il me semble que dans la situation que tu décris, Shéhérazade, ce n'est pas l'IEF qui est en cause, mais le fait de criser et de ne pas trouver un équilibre en lien avec le rythme et la capacité d'apprentissage de l'enfant. Souvent, le fait de vouloir suivre le programme/la pédagogie de l'EN (par manque de confiance, de connaissance d'autres pratiques, par peur du contrôle pédagogique ou des dires des proches, etc.) met une pression énorme sur les parents, qui la retourne vers l'enfant qui, au lieu d'en vouloir à la maîtresse ou à l'école ou à lui-même, en veut au parent qui s'occupe de l'instruction. Aujourd'hui, il est plus facile de trouver les informations et d'échanger avec d'autres familles, de trouver du soutien (notamment via Internet), ce qui n'était pas le cas il y a une dizaine d'années.
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shéhérazade




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MessageSujet: Etre enseignant et parent ?   les enfants et les nerfs EmptyMar 27 Jan - 11:57

C'est vrai qu'on se sent parfois seul et qu'on ne sait pas trop comment s'y prendre, surtout face à l'incompréhension des autres parents et du corps enseignant.
J'ai reparlé de ça hier à mon fils, on est conscient tous les deux du problème. Ca m'a gâché ma nuit aussi en y repensant !
Je voulais surtout qu'il réussisse, qu'il ne perde pas de temps non plus pour pouvoir profiter de sa journée et qu'on puisse faire plein de trucs ensemble.
Finalement, je crois que quand on crise, on s'en veut à soi-même parce que c'est notre incapacité à expliquer qui nous énerve.
La question est :
- Est-ce qu'on peut être parent et enseignant à la fois ?

Le gamin doit avoir du mal à faire la différence entre le statut de parent que l'on a et celui de la personne qui lui sert d'enseignant. Autant on peut faire les devoirs, expliquer par le jeu ou autre quand on sort de chez soi, discuter de plein de trucs, mais tout ça c'est par plaisir, autant faire "la classe" devient quelque chose d'obligatoire et devient alors difficile.

Si c'était à refaire, j'aurai remis mon fils à l'école, surtout nadia ne fais pas comme moi, essaye de garder ton sang-froid et demande surtout à ton fils ce qu'il pense de l'école à la maison dans ces conditions. Si il te dit qu'il préfère l'école, remets-le mais ne gâche pas toute une vie avec lui. Il grandira et les relations seront pires plus tard.
Il ne faut pas avoir peur de remettre en cause son choix. On le fait pour soi-même égoïstement en tant que parent, sans prendre en considération le bien-être de son gamin.
Bon courage !
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Karine
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MessageSujet: Re: les enfants et les nerfs   les enfants et les nerfs EmptyMar 27 Jan - 12:26

shéhérazade a écrit:
La question est :
- Est-ce qu'on peut être parent et enseignant à la fois ?
Le gamin doit avoir du mal à faire la différence entre le statut de parent que l'on a et celui de la personne qui lui sert d'enseignant. Autant on peut faire les devoirs, expliquer par le jeu ou autre quand on sort de chez soi, discuter de plein de trucs, mais tout ça c'est par plaisir, autant faire "la classe" devient quelque chose d'obligatoire et devient alors difficile.
Mais il n'est absolument pas obligatoire de "faire la classe" lorsque les enfants sont instruits en famille. Souvent, les gens pensent que faire "l'école à la maison", c'est faire comme à l'école mais à la maison. Mais ce n'est pas la seule façon de permettre à ses enfants d'avoir une bonne instruction. D'ailleurs, je n'aime pas ce terme d'école à la maison quand j'évoque le fait que nos enfants ne sont pas scolarisés, parce que nous ne faisons pas l'école chez nous. Personnellement, je ne fais pas de différence entre montrer à mes enfants comment faire du vélo et leur montrer comment lire. Dans les deux cas, je suis là pour montrer, guider, accompagner, favoriser, mais pas pour jouer les maîtresses, puisque je ne note pas, je n'impose pas les apprentissages assis derrière un bureau et devant un cahier, et surtout je n'emploie pas la coercition pour faire apprendre quand l'enfant est dans le refus ou lorsqu'il n'est pas prêt. Je préfère profiter des moments où l'enfant est en demande, et lorsque ce n'est pas le moment pour l'enfant alors je remets à plus tard. C'est aussi la raison pour laquelle chez nous il n'y a pas d'emploi du temps fixe, régulier, car l'emploi du temps suit nos envies et les opportunités que nous avons. Les familles ne sont pas tenues de suivre le programme de l'Education nationale, et c'est une chance, car cela permet d'adapter à l'enfant.

shéhérazade a écrit:
Si c'était à refaire, j'aurai remis mon fils à l'école, surtout nadia ne fais pas comme moi, essaye de garder ton sang-froid et demande surtout à ton fils ce qu'il pense de l'école à la maison dans ces conditions.
Là, je trouve que tu touches point fondamental : "dans ces conditions". S'il y a un problème, alors pourquoi ne pas revoir "ces conditions", c'est-à-dire la façon de faire ? Echanger avec d'autres familles permet d'appréhender les multiples façons de procéder. Si une méthode ne convient pas, l'IEF permet justement d'en changer pour trouver le meilleur équilibre possible pour la famille et l'enfant.

shéhérazade a écrit:
On le fait pour soi-même égoïstement en tant que parent, sans prendre en considération le bien-être de son gamin.
Peut-être as-tu fait ce choix uniquement pour toi, mais ce n'est pas le cas de toutes les familles. Le plus souvent, il s'agit d'un choix conscient, réfléchi et dont l'objectif est le bien-être de l'enfant, ce qui implique des remises en questions, des adaptations afin de parvenir à un équilibre qui favorise l'épanouissement de l'enfant et n'altèrent pas les relations familiales.

Il y a maintenant de nombreux témoignages, sur Internet (voir notamment la page Témoignages du site de l'association : http://laia.asso.free.fr/conief.html) et la page Webring qui renvoient vers des blogs familiaux : http://laia.asso.free.fr/webring2.html) et dans le journal trimestriel Les Plumes de LAIA qui donnent de nombreuses pistes pour apprendre et instruire autrement, avec des témoignages de familles (http://laia.asso.free.fr/plumsom.html).
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shéhérazade




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MessageSujet: Re: les enfants et les nerfs   les enfants et les nerfs EmptyMar 27 Jan - 13:05

Je suis d'accord sur beaucoup de points, mais lorsque vous dîtes :

"Peut-être as-tu fait ce choix uniquement pour toi, mais ce n'est pas le cas de toutes les familles. Le plus souvent, il s'agit d'un choix conscient, réfléchi et dont l'objectif est le bien-être de l'enfant, ce qui implique des remises en questions, des adaptations afin de parvenir à un équilibre qui favorise l'épanouissement de l'enfant et n'altèrent pas les relations familiales."

On réfléchit à ce choix bien sûr. On ne peut passer du jour au lendemain du coq à l'âne !
Pour le fait de faire le choix de la désco, à part les raisons
médicales, d'éloignement ou de voyages, on le fait forcément pour soi.

COTE PARENT :
On veut
passer plus de temps avec ses enfants, on n'a pas forcément envie de
voir les autres faire à notre place. On peut vouloir tenter une expérience (le mot parait extrême, mais c'est un peu ça aussi).

COTE ENFANT :
L'enfant ne demande rien, il a ses copains à l'école, une instit qui n'est pas forcément un monstre comme on le voit si souvent dans les forums !
Je ne vois pas comment un enfant de 3 ans peut choisir par lui-même de rester à la maison, ni même un enfant de primaire.


La seule condition qui fait que ce choix n'est pas égoïste, c'est quand l'enfant le demande lui-même à un âge où il peut savoir faire la part des choses. Même en primaire, un enfant est incapable de se rendre compte de ce qui va se passer à la maison.
Ma fille, quand je lui ai posé la question, m'a répondu :
"J'aurai plus de temps pour jouer ! Mais est-ce que je verrai encore mes copains ?"
Vaste débat sur les copains, certains parents réticents n'ont pas envie d'entendre leur propre enfant demander à rester à la maison, ça m'est arrivé !
Ok, l'enfant a besoin de temps pour jouer et rêver, mais il y a quand même des contraintes minimales pour acquérir un certain nombre de connaissances, peu importe effectivement la manière.
Et le jeu, parfois, peut aussi l'ennuyer au fil du temps.

A bientôt
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Karine
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MessageSujet: Re: les enfants et les nerfs   les enfants et les nerfs EmptyMar 27 Jan - 14:46

shéhérazade a écrit:
Pour le fait de faire le choix de la désco, à
part les raisons médicales, d'éloignement ou de voyages, on le fait
forcément pour soi.
Je ne suis pas d'accord. La nonsco pour
déplacement géographique n'est pas une raison en lien direct avec
l'enfant, mais avec les choix des parents d'être mobiles. L'éloignement
est également une raison en lien direct avec le choix des parents de ne
pas vivre près d'une bourgade où il y a un établissement scolaire.
D'autre part, il y a des raisons en lien direct avec l'enfant qui ne
sont pas cité : le fait qu'un enfant puisse se sentir mieux chez lui
qu'en milieu scolaire (et ce même s'il n'est pas atteint de phobie
scolaire), le fait qu'un enfant peut ne pas aimer vivre en collectivité
(vivre en société est différent de la collectivité), le fait qu'un
enfant soit physiquement épuisé par des horaires qui ne correspondent
pas à son rythme biologique, soit moralement et/ou intellectuellement
fatigué par une activité qui n'est pas forcément en accord avec sa
personnalité et/ou sa maturité, etc.

shéhérazade a écrit:
COTE PARENT :
On veut
passer plus de temps avec ses enfants, on n'a pas forcément envie de
voir
les autres faire à notre place. On peut vouloir tenter une expérience
(le mot parait extrême, mais c'est un peu ça aussi).
Il y a
aussi peut-être pour certains le fait de vouloir voir ses enfants
s'épanouir.

shéhérazade a écrit:
COTE ENFANT :
L'enfant ne
demande rien, il a ses copains à l'école, une instit qui n'est pas
forcément un monstre comme on le voit si souvent dans les forums !
Je
ne vois pas comment un enfant de 3 ans peut choisir par lui-même de
rester à la maison, ni même un enfant de primaire.
Il s'agit là
d'un travers que l'on rencontre régulièrement. Comment un enfant de 3
ou 6 ans peut-il choisir par lui-même d'être scolarisé ? Dans
l'histoire de l'humanité, la scolarisation est quelque chose de très
récent, à peine une centaine d'années, ce qui fait qu'on ne peut pas
considérer que ce soit obligatoirement une norme humaine.
Les
raisons de scolariser ne sont pas moins un choix parental que celles
qui font que des parents choisissent de ne pas scolariser (manque de
temps, manque de confiance, manque d'envie, manque d'argent, etc.
autant de raisons sans lien direct avec l'enfant).

shéhérazade a écrit:
La
seule condition qui fait que ce choix n'est pas égoïste, c'est quand
l'enfant le demande lui-même à un âge où il peut savoir faire la part
des choses. Même en primaire, un enfant est incapable de se rendre
compte de ce qui va se passer à la maison.
N'est-ce pas la
même chose que lorsqu'il s'agit de scolariser ? Combien d'enfants
demandent à aller à l'école en pensant que l'école est le lieu pour
faire de la peinture et jouer avec ses copains ? Combien savent
qu'aller à l'école signifie suivre un emploi du temps décidé par
d'autres pour apprendre des choses selon un ordre, une manière et un
temps défini par d'autres ?

shéhérazade a écrit:
Et le jeu,
parfois, peut aussi l'ennuyer au fil du temps.
La vie ne doit
pas être que travail imposé, ou que jeu imposé. Instruire son enfant à
domicile, c'est aussi varié les activités, les lieux, les rencontres,
etc. Rester à l'écoute des enfants et prendre en compte leurs envies et
besoins devient une nécessité dans le cadre de l'instruction à domicile pour éviter l'ennui et la souffrance et maintenir un équilibre familial.
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lysalys




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MessageSujet: Re: les enfants et les nerfs   les enfants et les nerfs EmptyMar 27 Jan - 15:08

Je ne suis pas d'accord moi aussi.
Je pense sincèrement qu'un enfant peut savoir ce qu'il souhaite à l'âge du primaire.
Notre cadette allait tellement mal lorsque nous l'avons déscolarisée qu'il est probable qu'un certificat médical aurait pu être fourni. Aujourd'hui elle va très bien et n'a aucune envie de retourner à l'école puisqu'une bonne partie des problèmes qu'elle y rencontrait dont le besoin d'apprendre plus notamment, serait toujours là !
L'aînée n'aurait sans doute pas été diagnostiquée (je prends ici en compte l'argument médical qui a été avancé) et pourtant c'est encore elle qui a le plus de souffrances à évacuer à ce jour. Oui, parfaitement à évacuer. Le système classique n'est pas adapté pour elle et elle n'a aucune envie d'y retourner. A trois ans et demi lorsqu'elle a commencé l'école, elle a essayé de le dire,les grands lui ont demandé de s'adapter. Moi y compris, je n'ai pas su l'entendre vraiment. Alors qui savait finalement ce qu'il convenait de faire ?

Oui, c'est vrai, il faut faire attention de ne pas entrer en crise avec notre enfant parce que les apprentissages se passent de façon peu détendue. Pour ma part, je propose aussi des apprentissages formels, mais si l'enfant ne comprend pas, je m'efforce de ne pas entrer en conflit en passant à autre chose ou utilisant un autre support. Parfois je suis fatiguée ou très stressée et comme toutes les mamans (pas besoin d'instruire son enfant pour se fâcher en ayant tort), je me plante, j'essaie alors que cela ne dure pas ! Mais ce n'est pas lié à l'instruction en famille, c'est malheureusement le lot de beaucoup de mamans qui sont avant tout humaines donc faillibles.

D'autre part, lorsqu'un enfant a des problèmes à l'école, nous pouvons aussi être des parents angoissés, soucieux de leur réussite et "déraper" en expliquant des devoirs ou simplement en apprenant le résultat à un contrôle, en recevant des bulletins. Non ?
En fait je pense que tout dépend de la pression que nous leur mettons et nous mettons. Je connais des familles scos qui parlent beaucoup de scolarité et ne cessent d'insister y compris devant des personnes extérieures sur les résultats jugés insuffisants. Ne s'agit-il pas du même problème ?

Alors lorsque cela se produit dans le cadre de l'instruction en famille, cette fois, nous nous sentons responsables de tout et c'est pourquoi il importe à mon avis de ne pas rester isolés.

Quant à votre propre histoire, il n'est pas trop tard pour avoir une nouvelle relation avec votre fils. L'adolescence n'est sans doute pas un âge facile, mais ce qui compte c'est qu'aujourd'hui vous ayez envie d'agir autrement. Je vous souhaite d'y parvenir. Very Happy
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MessageSujet: Re: les enfants et les nerfs   les enfants et les nerfs EmptyMar 27 Jan - 15:51

Je suis entièrement pour le fait qu'un enfant puisse rester chez lui, mais mon avis personnel est-il en adéquation avec l'équilibre d'un enfant ?

Le choix de vivre à la campagne ou en ville n'a rien à voir avec l'école. Le fait de bouger tout le temps non plus. Un enfant vit avec ses parents, donc il subit forcément le choix des parents.
Un enfant sera un adulte qui aura des contraintes d'horaires, d'autorité, d'intégration sociale. Les parents doivent apporter tout ça au-delà de la scolarité.
Je souhaiterai savoir combien d'enfants font des études supérieures en ayant été complètement déscolarisés. Tout dépend de ce qu'on veut effectivement. C'est plus simple d'arrêter ses études à 16 ans que d'avoir un bac+5 !

Je suis d'accord sur les rythmes biologiques. Les journées sont trop longues et l'enfant n'a pas assez de temps pour jouer, faire du sport ou de la musique.

Le fait de choisir de scolariser ou non son enfant n'est de toute façon pas un choix, puisque l'enfant ne peut pas s'exprimer. La "norme" étant de scolariser, c'est toujours par rapport à celle-ci qu'on peut juger si le choix est bon ou mauvais. On ne peut pas faire un choix sur quelque chose qui est minoritaire.
La majorité des copains sont scolarisés, donc le non-choix est la non-scolarisation et pas l'inverse.

On n'a jamais vu un enfant non sociable, si il l'est c'est parce que ses parents ne voient jamais personne et donc il n'a pas "a priori" besoin de voir du monde. Donc le fait de le mettre en collectivité, c'est aussi pour s'affirmer, montrer qu'il est présent et qu'il existe auprès des autres. Avec ses parents, tout ça n'existe pas puisqu'un tout petit dira forcément que papa et maman sont les plus forts et qu'ils savent tout ! L'expression de ses idées est forcément restreinte dans ce contexte.

Un enfant est toujours mieux chez lui que chez les autres. Il a besoin de sécurité et son petit univers est super important. Mais là aussi tout dépend si tout petit il a dormi à droite et à gauche, n'importe où au fil des visites chez les uns ou les autres, si il a voyagé aussi dans des endroits très différents.

Par contre, entièrement d'accord sur le dernier point. Effectivement, scolariser c'est voir d'autres gens, d'autres lieux, prendre son temps pour découvrir des sports et des activités qu'on n'aurait pas le temps de faire,

MAIS :

Le problème est que beaucoup de parents dans les forums disent qu'ils n'ont pas le temps, que ça coûte cher, qu'il y a les autres enfants (voire des bébés) à emmener, que l'hiver les route sont difficiles !
C'est là où je dis oui, la désco c'est génial si on a du temps à consacrer à tout ça, sinon c'est l'ennui assuré, plus rien à se raconter, et une vision des choses de la vie très restreinte.

A bientôt, le débat est passionnant !
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lysalys




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MessageSujet: Re: les enfants et les nerfs   les enfants et les nerfs EmptyMar 27 Jan - 16:54

Et bien en ce qui concerne ma fille aînée, elle ne compte (pour l'instant du moins) pas s'arrêter à 16 ans puisqu'elle vise un bac +3 et la cadette apparement plus ! Very Happy Et pour cela aucune école avant un certain nombre d'années. Very Happy

Sur la question d'un non choix en choisissant la nonsco, pas d'accord. A partir du moment où on décide de déscolariser ou de scolariser, on fait un choix. Ensuite ce choix est plus ou moins facile, plus ou moins soumis à certaines conditions que nous y mettons ou que nous ressentons, mais cela reste un choix. Very Happy
Je vais prendre un exemple fort certes, mais explicite : si on vit dans un pays où sévit un tyran, la norme sera de sans doute de se taire par crainte des représailles, mais si on choisit la révolte, la résistance, on fait un autre choix. Bien sûr tyrannie et école n'ont rien à voir, mais il s'agit simplement de démontrer qu'un choix n'est pas forcément facile ou imposé par une norme.

Il est vrai qu'une non sco réussie demande sans doute un minimum d'investissement, mais je ne suis pas persuadée que chaque enfant aura les mêmes besoins et que cela fera de lui un être moins sociable. Je crois aussi que l'on peut avoir beaucoup à se dire même en restant parfois davantage chez nous. Very Happy Les filles apprennent beaucoup, mais j'apprends avec elles. Nous lisons toutes les trois, regardons des documentaires ou émissions diverses et lorsque nous faisons moins de rencontres, nous pouvons discuter, débattre de ce que nous voyons, lisons, entendons.
Je t'accorde cependant que pour les amis, il faut davantage bouger car parfois ils ne sont pas tout près, mais les sentiments n'en sont pas moins forts en se voyant moins souvent, d'autant qu'aujourd'hui il y a bien des façons de communiquer et échanger.
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MessageSujet: Re: les enfants et les nerfs   les enfants et les nerfs EmptyMar 27 Jan - 18:19

"Et bien en ce qui concerne ma fille aînée, elle ne compte (pour l'instant du moins) pas s'arrêter à 16 ans puisqu'elle vise un bac +3 et la cadette apparement plus ! Very Happy Et pour cela aucune école avant un certain nombre d'années. Very Happy "

C'est bien tu as l'air heureuse very happy !
Vous verrez que faire des études supérieures sans retourner sur les bancs de la fac ou autre ne sera pas une mince affaire ! Surtout qu'il n'y a pas beaucoup de formation dans ce sens. Donc un bac +3 comme ça, j'y crois pas...

"Sur la question d'un non choix en choisissant la nonsco, pas d'accord. A partir du moment où on décide de déscolariser ou de scolariser, on fait un choix. Ensuite ce choix est plus ou moins facile, plus ou moins soumis à certaines conditions que nous y mettons ou que nous ressentons, mais cela reste un choix. Very Happy

A-t-on le droit de faire le choix pour un enfant qui, finalement, pourrait très bien s'épanouir ailleurs ?
Pour l'instant il ne manque rien apparemment à vos filles, mais

"Je vais prendre un exemple fort certes, mais explicite : si on vit dans un pays où sévit un tyran, la norme sera de sans doute de se taire par crainte des représailles, mais si on choisit la révolte, la résistance, on fait un autre choix. Bien sûr tyrannie et école n'ont rien à voir, mais il s'agit simplement de démontrer qu'un choix n'est pas forcément facile ou imposé par une norme. "

Je ne m'étendrai pas là-dessus, il faudrait avoir été dans un pays tyrannique pour pouvoir jouer à ce genre de polémique. Vivant en France et n'ayant peut-être jamais traversé les frontières, comment juger du bien-fondé de cette remarque ? Ca m'intéresserait que vous me répondiez, vu que nous avons mis les pieds sur les 5 continents avec nos enfants. Il faut l'avoir vu pour comprendre !

"Il est vrai qu'une non sco réussie demande sans doute un minimum d'investissement, mais je ne suis pas persuadée que chaque enfant aura les mêmes besoins et que cela fera de lui un être moins sociable. "

Faux, un enfant a besoin des autres, déjà de ses parents, mais des autres de son âge. Donc il faut se bouger pour lui faire connaître autre chose que le cocon familial.

"Je crois aussi que l'on peut avoir beaucoup à se dire même en restant parfois davantage chez nous. Very Happy Les filles apprennent beaucoup, mais j'apprends avec elles. Nous lisons toutes les trois, regardons des documentaires ou émissions diverses et lorsque nous faisons moins de rencontres, nous pouvons discuter, débattre de ce que nous voyons, lisons, entendons."

Les discussions sont quand même réduite, pas de visions apparemment extérieure si vous ne discutez qu'entre vous ! Et pour faire un devoir de philo ou autre, il faut quand même discuter entre jeunes et d'autres adultes pour pouvoir faire une bonne thèse.


"Je t'accorde cependant que pour les amis, il faut davantage bouger car parfois ils ne sont pas tout près, mais les sentiments n'en sont pas moins forts en se voyant moins souvent, d'autant qu'aujourd'hui il y a bien des façons de communiquer et échanger."

D'accord pour les sentiments, ça c'est évident. Néanmoins, Internet ne remplacera jamais une bonne soirée entre copains.
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lysalys




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MessageSujet: Re: les enfants et les nerfs   les enfants et les nerfs EmptyMar 27 Jan - 21:21

shéhérazade a écrit:
"
C'est bien tu as l'air heureuse very happy !
Vous verrez que faire des études supérieures sans retourner sur les bancs de la fac ou autre ne sera pas une mince affaire ! Surtout qu'il n'y a pas beaucoup de formation dans ce sens. Donc un bac +3 comme ça, j'y crois pas...

Qui a dit qu'elles n'iraient jamais à l'école ? Pour info, on peut aussi suivre des formations ou diplômes après avoir arrêté l'école, pourquoi serait-ce différent pour un enfant non sco ? Les enfants ont un projet donc nous avisons en fonction de celui-ci, et s'il change, nous ferons de même.

"Sur la question d'un non choix en choisissant la nonsco, pas d'accord. A partir du moment où on décide de déscolariser ou de scolariser, on fait un choix. Ensuite ce choix est plus ou moins facile, plus ou moins soumis à certaines conditions que nous y mettons ou que nous ressentons, mais cela reste un choix. Very Happy

A-t-on le droit de faire le choix pour un enfant qui, finalement, pourrait très bien s'épanouir ailleurs ?

Nous ne faisons pas un choix pour elles, mais avec elles, c'est la différence.

Pour l'instant il ne manque rien apparemment à vos filles, mais

"Je vais prendre un exemple fort certes, mais explicite : si on vit dans un pays où sévit un tyran, la norme sera de sans doute de se taire par crainte des représailles, mais si on choisit la révolte, la résistance, on fait un autre choix. Bien sûr tyrannie et école n'ont rien à voir, mais il s'agit simplement de démontrer qu'un choix n'est pas forcément facile ou imposé par une norme. "

Je ne m'étendrai pas là-dessus, il faudrait avoir été dans un pays tyrannique pour pouvoir jouer à ce genre de polémique. Vivant en France et n'ayant peut-être jamais traversé les frontières, comment juger du bien-fondé de cette remarque ? Ca m'intéresserait que vous me répondiez, vu que nous avons mis les pieds sur les 5 continents avec nos enfants. Il faut l'avoir vu pour comprendre !

"vu" n'est pas vivre. Que savez-vous de ce que j'ai vécu ?
Et puis d'ailleurs j'ai bien insisté sur le fait que pour moi l'école n'était pas à comparer à un tyran, j'ai simplement développé l'idée de choix, voilà tout.

"Il est vrai qu'une non sco réussie demande sans doute un minimum d'investissement, mais je ne suis pas persuadée que chaque enfant aura les mêmes besoins et que cela fera de lui un être moins sociable. "

Faux, un enfant a besoin des autres, déjà de ses parents, mais des autres de son âge. Donc il faut se bouger pour lui faire connaître autre chose que le cocon familial.

"Je crois aussi que l'on peut avoir beaucoup à se dire même en restant parfois davantage chez nous. Very Happy Les filles apprennent beaucoup, mais j'apprends avec elles. Nous lisons toutes les trois, regardons des documentaires ou émissions diverses et lorsque nous faisons moins de rencontres, nous pouvons discuter, débattre de ce que nous voyons, lisons, entendons."

Les discussions sont quand même réduite, pas de visions apparemment extérieure si vous ne discutez qu'entre vous ! Et pour faire un devoir de philo ou autre, il faut quand même discuter entre jeunes et d'autres adultes pour pouvoir faire une bonne thèse.

Marrant ça, lors des cours de philosophie que j'ai suivi, nous étions vraiment peu à intervenir...

"Je t'accorde cependant que pour les amis, il faut davantage bouger car parfois ils ne sont pas tout près, mais les sentiments n'en sont pas moins forts en se voyant moins souvent, d'autant qu'aujourd'hui il y a bien des façons de communiquer et échanger."

D'accord pour les sentiments, ça c'est évident. Néanmoins, Internet ne remplacera jamais une bonne soirée entre copains.

Et qui a dit là encore que les enfants n'avaient pas droit à ces soirées ?

Je dois bien avouer ce soir que je suis un peu énervée en répondant parce que j'ai senti dans ce message un jugement, voir même une banalisation de ce que mes filles pouvaient vivre et ressentir.
Je ne prétends détenir aucune vérité, mais je sais une chose : l'instruction en famille s'est révélée à ce jour une chance pour mes enfants. Peut-être que l'an prochain ou dans deux ou même cinq années, les choses seront différentes et peut-être qu'elles auront envie d'autre chose.
Oui, l'instruction en famille n'est pas toujours facile, oui, il y a des efforts à mon avis à faire, mais pourquoi nous demander encore de nous justifier simplement parce que vous êtes déçus ?
Je ne suis pas sûre que l'ief convienne à toutes les familles, je ne sais pas si vous vous êtes trompés ou pas, je ne crois pas qu'il soit utile de ruminer le passé, je ne crois qu'au présent, aux efforts que nous pouvons faire pour améliorer ce qui n'a pas été et à l'amour des enfants. ¨
En ce qui me concerne, j'ai seulement envie de leur donner des racines et des ailes et si pour cela ELLES ONT BESOIN de l'ief et bien nous vivons l'ief !
Accusez moi si vous voulez d'optimisme exacerbé, je n'ai pour ma part plus envie de débattre du sujet, j'ai mieux à faire que de me justifier.
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MessageSujet: Sans rancune ?   les enfants et les nerfs EmptyMar 27 Jan - 23:12

Je suis d'accord avec toi dans le choix de toute façon.
Je ne juge pas, je constate. Mal m'en a pris de dire les choses aussi abruptement. Le fait est que ça marche, c'est l'essentiel pour le bonheur de tes filles.
En tous cas, je trouve que c'est génial quoiqu'il advienne et j'espère pouvoir y arriver comme toi.
Il y a quelquefois un peu de provoc chez moi, mais ça permet de voir jusqu'où on peut aller dans un choix aussi difficile.
Sois heureuse avec tes filles !
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lysalys




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MessageSujet: Re: les enfants et les nerfs   les enfants et les nerfs EmptyMar 27 Jan - 23:26

Merci. Very Happy
Je te souhaite de parvenir à te rapprocher de ton fils. I love you
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MessageSujet: Re: les enfants et les nerfs   les enfants et les nerfs EmptyMer 11 Fév - 17:14

shéhérazade en vous lisant j'ai du mal à croire que vous ayez fait l'ief ,enfin du moins que vous êtes pour scratch
j'ai d'avantage l'impression de lire qq1 qui ne s'est pas renseigné sur le sujet et qui est bourré d'aprioris drunken
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MessageSujet: Re: les enfants et les nerfs   les enfants et les nerfs EmptyJeu 11 Mar - 21:57

Sheherazade, j'ai l'impression que ton fils est en train de te faire une jolie crise d'adolescence !

Sois sereine avec toi-meme : tu as pris les decisions avec ton ressenti, les problematiques que tu as analysees, a l'epoque. Ton fils s'en rendra certainement compte... quand il aura lui-meme des enfants. Et oui, chaque decision a des cotes positifs et des cotes negatifs...

Es-tu certaine que toutes ces annees n'etaient QUE crise de nerfs ?
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